dimanche 15 mars 2015

Faites entendre le camp des travailleurs !

Election départementale du 22 mars - Canton de Val de Lorraine Sud

Faites entendre le camp des travailleurs !Votez Lutte ouvrière Votez Lucien Aubert et Christiane Nimsgern

Il est écœurant, révoltant, d’entendre le gouvernement et les grands patrons nous prêcher la nécessité de faire encore et toujours des sacrifices pendant que les classes riches vivent dans le luxe.

C’est pour dire qu’il y en a assez, qu’on en a ras-le-bol de cette situation, que Lutte ouvrière sera présente dans le canton de Val de Lorraine Sud. Lucien Aubert, assistant de vie scolaire, et Christiane Nimsgern, aide-soignante, seront les candidats de Lutte ouvrière, avec comme remplaçants Roger Hacquard, retraité de la sidérurgie, et Patricia Pellerin, aide-maternelle.
Face aux mesures anti-ouvrières du gouvernement, à la droite qui rêve de revenir aux affaires, au FN qui voudrait sa place à la mangeoire, il faut que s’exprime un vote pour des militants de la classe ouvrière, communistes, fidèles à leurs idées comme à leur classe sociale.

Assez de payer pour une crise dont nous ne sommes pas responsables ! C’est aux actionnaires et aux financiers de payer !

Nous n’acceptons plus les licenciements et les suppressions d’emploi. Il faut les interdire purement et simplement, et répartir le travail entre tous sans baisse de salaire, pour que chacun ait un emploi. Cela couterait cher ? Oui, mais les banques, les grandes entreprises, la bourgeoisie sont pleines aux as, elles peuvent payer.

Nous n’acceptons plus les salaires, les pensions ou les allocations qui ne permettent pas de vivre décemment, de se loger correctement, de se chauffer ou de se soigner pendant que les classes riches vivent dans le luxe. Il faut les augmenter et en garantir le pouvoir d’achat par une hausse automatique dès que les prix augmentent.

Nous n’acceptons plus la dictature que les capitalistes exercent sur l’économie, menant la société́ à la catastrophe et précipitant les classes populaires dans la pauvreté. Il est vital que les travailleurs et la population contrôlent les actionnaires, leurs projets et leurs décisions, pris dans le secret des conseils d’administration des banques ou des grosses sociétés alors qu’ils engagent l’avenir de tous.

En votant Lutte Ouvrière, vous affirmerez clairement le rejet de toutes les politiques au service des riches.

Les travailleurs et les classes populaires n’ont rien à attendre des politiciens bourgeois.

Souvenons-nous ! « Travailler plus pour gagner plus », promettait Sarkozy, et « Mon ennemi c’est la finance », assurait Hollande. On a vu ce que cela a donné !

Quant à espérer qu’avec ceux qu’« on n’a jamais essayé », Le Pen et le Front National, ce serait mieux ou diffèrent, c’est une énorme erreur : ce serait pire. Le Pen rêve de faire partie, comme les autres, de ce système qu’elle fait mine de dénoncer.

Elle s’en prend à l’Europe ou à Bruxelles, mais ne s’en prendra jamais aux actionnaires, aux capitalistes, à la bourgeoisie. Et pour cause : elle en fait partie !

Le vote pour le Front National est un piège pour les travailleurs, les chômeurs, les retraités. Le piège de la division, selon la couleur de peau, l’origine ou la religion. Car c’est seulement s’ils sont unis que les travailleurs peuvent faire payer la crise à ses responsables, les grandes banques et les gros industriels. Eux ne connaissent pas les frontières, ces barrières pour les peuples que l’on dresse les uns contre les autres pendant que le grand capital pille toute la planète.

En divisant les travailleurs entre Français et immigrés, Le Pen fait le jeu du patronat qui divise pour régner.

Le vote pour les candidats de Lutte ouvrière sera le moyen d’affirmer que nous ne nous laissons plus berner d’illusion électorale en illusion électorale par des politiciens au service des riches.

En votant Lutte ouvrière, vous ferez entendre les exigences des travailleurs.

Aucun politicien n’a jamais fait de cadeau aux travailleurs. C’est toujours par les luttes collectives que notre sort a changé.

Affirmer fièrement ce que nous voulons, affirmer les exigences de ceux qui font vivre la société et l’enrichissent, c’est la seule chose utile à faire pour les travailleurs avec le bulletin de vote.

Puisqu’on nous demande notre avis, donnons-le ! C’est un premier pas, la condition préalable aux grandes luttes collectives qui permettront d’imposer nos exigences aux capitalistes et aux financiers qui vivent en parasites sur la société.

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